lundi 1 juillet 2013

A la mesure de ton orgueil, jamais je ne battrai la mesure plus dure
la fin des temps advenue, j'esquisse la ligne sur le tempo furtif de mes inhibitions
aux réclamations, suivent les implications discrètes, les recours secrets aux antichambres des morts
Puisse l'existence m'accorder une trêve longue
connaître la radiance suprême du fond de l'être, reconnaître l'infini dans sa manifestation
la souveraineté et l'unicité du Soi
loin des misères
qui m'épargnent
comme la hargne solitaire des moindres recoins où je me perds.

1 commentaire:

  1. belle transparence,d'une grande sincéritée

    Pierre Delogne
    pierredelogne@yahoo.fr

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