mercredi 31 octobre 2012

Poésie maquisarde de la beauté parallaxe du Monde
Les ruisseaux où germe ma béatitude, les bosquets dorés
Sur les crépuscules de mon absence latente
De l'infinie radiance du K
Jamais je n'ai vécu par les balles
Je ne vis plus par la Haine
Même si la cruauté partout m'affecte
Constantinople et puis les appels de l'orient
De l'occident
Des oxymores
De ma dissolution dans un Monde
Sans arrogance ni mépris
Un panache de simplicité
Mon orgueil à jamais pardonné
Consensuel et censé
Je n'en demeure pas moins
Un peu censuré
Qu'y puis-je
Nul n'est prophète en son pays
Les Indes orientales m’appellent
Comme celles d'Occident
Nous présent useront de mesure et intelligence
Vive le vie. HKHKKKHHHRHRRRHH

samedi 27 octobre 2012

Les troubles se dissolvent
La clarté de mon regard
Est votre seule raison
Ma proximité est telle qu'elle vous terre
Vous protège vous répond
La douceur des nuits d'équinoxe
Votre seul paradoxe.
Les loups, les voleurs les violeurs la nuit les prisons se remplissent de vauriens voraces politiciens aux crépuscules des idôles profanées de mon intimité se creuse l'écart entre les tireurs de taureaux et les élites intellectuelles et spirituelles
Mes droits j'y tiens je vote je ramasse vos crasses vos pêchés vos "à minuit l'égorgeur" que je vous renvoie en pleine face Moi le loup bleu serein que rien de peut atteindre, l'envoyé des crépuscules et l'auteur des jours qui tombent. Vos karmas seront infâmes si vous touchez ne serait-ce qu'à l'un des miens. Franco-américain soit mais puissant en Esprit et en colère quasi divine, ma mysticité à toutes les raisons de faire trembler.

dimanche 21 octobre 2012

Les loups allèrent se baigner vers le Gange
Les autres restèrent calme en leur demeure
La rivière la plus proche de chez vous à quelque chose
De Sacré si vous allez vous baigner, où si vous alliez vous baigner
Dans votre jeunesse
Témoignage d'un colon Hindu blanc et bleu de couleur ocre
Peuple indien je suis avec toi
Je viendrai vers toi que tu sois à l'Est où à l'Ouest
Peuple de toutes les sagesses
Vous être ici chez
Vous
Sur ce blog protégé par Copyright et distribué sous conditions de simplicité, du Prasad presque.....................................................................................................................................................................................................HKHKKKHHHRHRRRHH

samedi 20 octobre 2012

Puisque rien ne me rappelle
UFO's parties are the best
I wish I could stay with you and join you
soon
Intergalactic poetry
On the Self
I forgot to tweet
What a shame
poésie
seulement
fluide comme mon robinet d'évier
Une conception immaculée
Quelques linges sales suspendu au dessus de ma beauté
Une odeur de Musk
Parfum d'été lourd
Comme la paupière d'une femme
aimée à jamais
Ma patrie
est Vrindavan
et le rouge
des jardins parfumés
Au rasa lila place
is the place to be during the day
Love you anyway;)

mercredi 17 octobre 2012

Bleu jusqu'au fond des yeux presque en avoir le mal de mer.

lundi 15 octobre 2012

Les lignes, les courbes, les voiles sur ma demeure, les larmes qui coulent celle de la béatitude absolue de l'âge d'amour de raison d'un peuple vainqueur, d'une lutte sans leader,sans laideur, un horizon à jamais sur ma tamise sur mes balises de chiens errant de vagabond perçant comme la flamme des toujours, la lame sur laquelle je taille ma barbe naissante fleurie des beautés inouïes dans le pays des rêves des nuits suaves des étoiles, Persan presque jusqu'au sang par un lignage voyageur et érudit, Mère je te remercie Radharani mon énergie à jamais merci, tout lui revient à celui que tu aime tant.

dimanche 14 octobre 2012

Les messages se lisent s'effacent se résorbent
Comme une nuit contemplative Aux vices les plus d'offrandes
Aux vies le plus je m'offre
A l'ouverture sommitale
A l'atman
Au coeur qui s'ouvre comme une pulsation seconde
A cette ville que j'aime tant
Qui transpire le vice de novices
Comparée à l'arrogance hautaine
Je préfère
La futilité des jours qui s'expirent
A l'agressivité
suintant la déraison
la mauvaise intention
La soif de puissance
L'orgueil et le mépris
La vie est pourtant là
Partout je l'aime
Partout je suis moi même
Même là où elle m'aime
Sauf là où nous aimons tous
Vatican
Voilà l'enfant qui souffre.

jeudi 11 octobre 2012

Savants sans onirisme
Priapisme loin des risques du métier
Les petites raisons se taisent
L'atmosphère est pestiféré par la présence sans encombre
Des vains débats clos du cercueil où les funambules jouent
Sur les pointes à piste
Les pointes de diamant de moi aimant
A jamais les belles de mai à côté des joliesses
Je ne fais que passer
Parole sans prise de risque
Une piste lancée
Au bout de la cordée
Le harinam en tête
Je n'agit que pour l'apsu
Danse sans gloire des orgueils
La dérision se tait
Dans un silence de fauteuil au cigare glacé.

mardi 9 octobre 2012

Les équinoxes en douce le monde tourne
Une vitesse souterraine, inimaginable
Vous parcourez en même temps que vous me lisez
Les strates lointaines de l'air
Nous sommes en bulle
En Monde
Sur terre
Je dois m'éloigner pour ne pas vous briser
De couplets trop exagérés
Les complaintes tardives de gens déplacés par une grâce mystérieuse
Les déplacements furtifs de l'air
La parole qui se tait
Puis je t'aime
Vous tous
Moi aussi, un peu plus
Puis K
Qui est constamment en moi par la grâce de Radharani.

dimanche 7 octobre 2012

Et les bouches se resserrent s'étreignent, s'éteignent
Palissent sur les lueurs de chandelle
Aux rues les quatre coins de vents
Les destins se multiplient s'articulent
En une gigantesque cérémonie
Un orgueil de Titan
Une déesse mère
Radharani
Ses larmes si amères
Prema yuga
Age d'amour
La raison me revient comme la courbe sinueuse d'écriture semi-automatique
Pas les balles d'un révolver
Celle d'un clavier solitaire
Solidaire
K se répand en nous
Comme une larme de ballerine
Une fusée amphétamine
Une mine de crayon
Si fine
Une touche
Plus
en toi
Plus en moi
Un triomphe
réfractaire
aux H
Aux fins
de vie
de rien
de Moi.

mercredi 3 octobre 2012

Parcelles de vie, d'amour, dans mes tiroirs intimes
La dîme de mes carnets si
D'aventure, les marins sourient,
Le bal de mer,
Les étoiles au fond des yeux,
Les larmes s'écoulent
Un peu de discipline
Tout m'est dicté
Par le grand esprit
L'unique
Origine
Orgasme
Transcendantalisme
Occitan
Mon nom
est
Gauranga das.

lundi 1 octobre 2012

Et puis rien, du grillage sur la mer
Des hommes qui sucent des bières, des mères alertes avec leurs poussettes
Un format de plus un format de moins,
Les points me viennent au cœur qui sent le piège
Dans lequel je me suis pris
Comme un bel enfant de chœur,
Un gosse de chambre
et des forêts amères
Sur lesquelles l'abondance des larmes s'écoulent
L'heure du rasa lila
N'est pas au
Moment
Les étreintes furtives
Glacent et éteignent
Les joies
De voir
l'autre en
SOI
Soi
en l'autre
Je n'ai
G
Rien
et
Tout
Seules
les graines de mon japa mala
Me rapprochent
Du suprême
Et éteignent cette joie blême
Matérielle
La mémoire n'apporte
Que des petits moments
que de petits esprits
rôdeurs
La vraie splendeur est immatérielle
et Suprême.