vendredi 28 septembre 2012

Les triomphes amers au travers de la poitrine
Poumons de fumeur à cette heure rien ne m'intéresse
Je contemple les tristesses aux coins des cafés,
les regards amers et avides,
les sourires biais les regards assurés
Ma splendeur vient de l’Éternel
Rien ne me souille ne m'abîme, ni ne me blesse
Équanimité parfaite du regard
Quitter cette souffrance
Seul intérêt
Seule quête
Amour toujours
Partout
Pour chacun, chacune
petites âmes
figées sur l'escalier
Au coin des rues trop d'affiches
de stéréotypes
D'énergie liée aux désirs matériels
Ma seule liberté
ATMAN
JE
G
.

mercredi 26 septembre 2012

Les solitudes barricadées de volupté
Sur ma langue légère mon palais d'or
La merveilleuse étoile que je garde au fond du cœur
Une petite fleur de lotus à huit pétales
Inaltérable
Insoluble
L'amour
Une
Condition
Sine qua none
Des fusions de couleurs
Trop élevées pour les fusées
Les tombes sur lesquelles je trébuche
Mes pieds lourds et sales
Comme les sabots
D'un paysan provençal
Je n'étais pas d'hier
Tulasi
autour du cou
Cigarettes
Doigts brûlés
Poumons saturés
Anxiolitiques
poche droite
Sur le cœur
Au fond un peu de douleur
Une éponge
Un chiffon sale
Une énigme de fin d'été
Un peu de bleu dans les yeux
Le blond cendreux
Se gomme
Se paume
Retourne à son hôtel de mer
Voir de ses yeux venir la prière
La grâce des regards
Les beautés à venir
La politique aux politiciens
La poésie
Aux miens.

mardi 25 septembre 2012

copyright for each one.

lundi 24 septembre 2012

En cet âge d'Amour, laissons les choses se dénouer avec finesse, sagesse, patience,
Les larmes de Radharani ont lavé les fautes de tous, ma compassion pour elle dépasse les lignes d'horizon les boîtes noires, les boîtes bleues ou se noient mes chagrins et amour saisonnières,je lui offre tout, God bless the entire world, we were all full with blessings et blessures.
et aux coffrets noirs, bien gardés.
copy left to good friends, even if virtuals;)
Des océans de béatitude dans ma solitude mordorée, les vents m'amèneront vers les rivages bleutés de l'azur infini des yeux, de la compassion intime que j'ai pour la séparation de Radharani pour son amant divin et puisque la parole est discrète elle est réservée aux coffret bleu de mes amies lectrices de poésie, chanteuses, photographes, discrètement......................................................................................

mercredi 19 septembre 2012

Laissez les vents se reposer;)
La nuit étoilées, les fleurs si belles, il est des langues plus subtiles quelques patois quelques argots des alphabets, si fins, la langue des planètes édéniques est le sanscrit, les mantras protègent guérissent, s'ils sont dit avec amour et sincérité, dévotion humilité, ne restons tout de même pas de marbre la nuit nous appartient, ni trop glaciale ni trop belle, juste un peu contre mon châle orangée au pays des abricotiers et des baies sauvages, poésie trop suave, trop slave, trop clandestine, trop tabagique, que la nuit soit belle pour tous. t*****************************************************************************************************************************************************************
HKHKKKHHHRHRRRHH

dimanche 16 septembre 2012

Une onctuosité si fine une vertu si immense une quiétude si arrogante, le torrent s'ouvre comme une vanne éternelle un océan de félicité le beauté m'inquiète partout quand le mariage des tonalités mauves devient violent
Se soumet aux raisons de l'atmosphère et que les conclusions sont fines qu'elles ne soient pas arrogantes l'amour est la seule chose, le pourpre est infini si les cœurs éclatent en sanglot, si les sages pleurent des larmes lourdes mêlées au sang l'inversion est annoncée les contournement sont fins et délicats, l'excitation doit être tempérée les bisons abattus sont la question du déclin nord amérindien et le rapport aux animaux est si délicat qu'elle pose la question du rapport à l'animal, de Senghor à qui je n'ose pas trop parler et à son enfance d'errance, de pâtre, les gardiens de chèvres, les bergers écrivains le gobelet de vodka orange m'a fait vomir du bleu cachet, presque du sang. Excusez ma quasi absence...

jeudi 13 septembre 2012

Les lignes si fines
exigües, contigües, AigÜes
A ce moment précis le remède est la vertu
L'amour, la joie, la quiétude
Prophétisant de façon aberrante
Les baignades saintes
Contournent les fleuves
Une petite fleur de lys
Sur le calice
une petite goutte de sang
si Fine
une onctuosité
de voie lactée
La première sourate
le jardin d'éden
Nous aimons tous le bleu
les étoiles
nous
sommes
sauf.



mardi 4 septembre 2012

Les équinoxes se taisent
La sainteté du regard puis les mots se murmurent
Un amour à jamais rassasié
Toxines qui s'évacuent violemment
Puis la mer est calme
Puisque je t'aime tout est dit
Le ciel, toi les autres
Tout se noie
Dans l'enfer
D'une salle de réanimation
Et la beauté transperce
Les mystères
Même les plus tenaces
Doucement
Shakti monte
Plus rien
ne peut
ne doit
le calme est souverain
La quiétude insensée
La villa se dessine
L'action purifie
Le cœur
l'esprit
La parole.