dimanche 3 juin 2012

Jamais nous ne fûmes
Sur la pente au bas du pallier
Les douleurs sourdent les lignes jaunes des lampadaires, les éclipses solaires, alors que solaire
Et solitaire doucement je tourne vers le bas de la rue
M'offusquent les passants
Plus rien je le sens
Les opalines marquent la blancheur des lignes sur ma paume aujourd'hui saillante
Une arête sur le visage
Latente et souterraine
La tristesse se terre
Sur mon sourcil droit
Puis se tait
La quiétude a des allures d'alliée
Sur les pas
Sages à blanc
Bleu
Il faut se taire
Un peu
Plus
.