Dissuadé à en rester au fond de la pièce
A allumer les cigares sur la vitre regard, en détournant la tête
Le vice se lit sur leurs diatribes basses
la frustration à sa lèvre,
il écopait sa peine médiocre à renifler mes traces
et puis s'enfle sa lèvre et je le tue doucement sans remord, un verbe, un mot, pas trop pour ce sot
puisque la vie dans mes veines traîne une agonie millénaire
je toise mes adversaires avec la langueur lascive d'un canif furtif
pisse la haine discursive
des assassins sur leurs traces
à gonfler mes humeurs
bénigne trace de celui qui boîte
qui se tord sur une douleur dont il comprend à peine la cause, l'avènement et le lieu
Je le dis, je te l'ai promis
tu pleureras le sang de mes tourments
la bile des matinées satinées
l'horreur de mes ténèbres.
vendredi 22 novembre 2013
vendredi 1 novembre 2013
Confiné aux derniers remparts de l'isolement, la folie en reflet intime des contradictions du Monde
Reclus, sur la vie fine des derniers recours, l'aide vient en ligne sur le point de douleur
les trahisons féroces, spoliations, parole détournée, utilisation perfide d'identité
Je meurs sur le tracé du sillon qui semble distraire les rangs de salauds
L'aigle divin sur la poitrine,
dégagé des contraintes mondaines, l'épiderme blême du front fatigué
Je sème les malédictions comme autant de graines fécondes
Puisse l'écoute lisser les remords des damnés
Puisse la grâce à nouveau me combler
Puissent les espions s'éloigner et se dissoudre
Puisant dans la puissance extatique les armes du combat lourd
j'esquive la confusion née des discours oiseux de quelques envieux
Nettoie les tâches de leur crasse nauséabonde
émets les appels vers l'infinie radiance suprême
m' effondre à peine, puisse la joie l'emporter
sans laisser les stigmates sur le cœur blessé
sur la vie, souffrance limpide d'un jour de novembre
au fond de la chambre
quand la radio chante
la note longue et vibrante
de l'âme aimante.
Reclus, sur la vie fine des derniers recours, l'aide vient en ligne sur le point de douleur
les trahisons féroces, spoliations, parole détournée, utilisation perfide d'identité
Je meurs sur le tracé du sillon qui semble distraire les rangs de salauds
L'aigle divin sur la poitrine,
dégagé des contraintes mondaines, l'épiderme blême du front fatigué
Je sème les malédictions comme autant de graines fécondes
Puisse l'écoute lisser les remords des damnés
Puisse la grâce à nouveau me combler
Puissent les espions s'éloigner et se dissoudre
Puisant dans la puissance extatique les armes du combat lourd
j'esquive la confusion née des discours oiseux de quelques envieux
Nettoie les tâches de leur crasse nauséabonde
émets les appels vers l'infinie radiance suprême
m' effondre à peine, puisse la joie l'emporter
sans laisser les stigmates sur le cœur blessé
sur la vie, souffrance limpide d'un jour de novembre
au fond de la chambre
quand la radio chante
la note longue et vibrante
de l'âme aimante.
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