Divergences sournoises, tues à l'orée des béatitudes
exhumer cette douleur sourde et l'extraire du fond de l'être
calmer les processus mentaux qui aiguillent les rames jusqu'à plus souffle
désarmer l'armure épaisse qui encombre ce corps limitant déjà
pâlir les imperfections sur le visage tendu
laisser émerger la pleine puissance reconnectée aux parallèles sourds de mes implications
simuler les contours sur l'aurore où les murmures doucement s'étouffent
puis se taisent, se laissent
doucement
le souffle m'éveille.
mardi 2 juillet 2013
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire