dimanche 13 avril 2014

Les diverses raisons broient mes limites tendres sous le paraître secondaire de mes inhibitions se cache la raison trop fugace de mes déraisons et puissent les paraître englober toutes mes convictions dans une noirceur charbon et diluer l'horizon de mes ardeurs de jeune homme puisse la lune demander pardon à ces obsessions de mille soirs puisse la ronde écarter la bêtise humaine puisse le rouge disparaître de ma vie puisse l'ego éclater et devenir esprit je joue des conditions viles je déroute le malhabile garçon je sidère les foules j'envie les riches épuise le richesses dilapide mon métier exhorte le peuple à la paresse déroute les aéroports et les joies mondaines stupéfie les aérogare envoie des missiles vers le centre de l'univers balaye du regard la foule blême tue les démons foudroie l'abime caresse les joies abîme mes peines diluent mes torts écartèle la folie entre montée des pensées et salves poétiques transes méditatives extases de prière lointaine agonie mes torts je les admet mille fois les crachats je les supporte trop les insultes je les prend toutes les menaces les mises à l'écart on m'isole me tue me supporte me tolère m'écarte je tue vos regards je jette les foules je crache et vomis vos haines vos préjugés vos habitudes je jette en pâture chacun de mes vers j'ignore vos attitudes de rejet mépris souris à tout va sur votre bêtise conditionnée n'envie en rien vos devenir surprends le rêve infini disparaît de vos géographies étroites jusqu'à la petite trace de poudre bleue sur l'arrière de chacun de mes pas