lundi 11 juillet 2011

Les tendances obscurcissent mon esprit
Chargé comme un ciel d'orage, la tempête s'abattra soudaine
Les torpeurs discrètes, les troubles célestes, la pluie battante sur les indices primordiaux, des vers dissolvent ta figure de sable, les décombres s'abattent sur l'esprit fragile du temps ou les rouages de machinations et damnations pour l'engeance fébrile d'un peuple non subtil, léger comme une pomme de pin sur les eaux du torrent, récalcitrant comme un prêtre aux injonctions védiques et suintant la déraison comme un occidental à Katmandou. Si le chemin suit tes pas, c'est toi qu'il abattra comme un étourneau sous le coup de fusil d'un autochtone et ta race si fière peine et tombe dans la boue lourde, sache le rien d'absurde que le filet d'une vue obturée par l’œillère familière, la plume clavière le but obscur,la terre entière entre mes dents, mes yeux, la sombre tombe en un rêve d'éther, de somnifère, de petite vague artificielle sur une des vies, une entière, une plénière, un petit pas vers l'horizon tombant sur la ville altière. Le pas lent l’œil impatient peu à peu se détend puis s'étend sur la terre. Le feu est lent, doux, fou, souvent sur ma peau le duvet s'étend. Rien n'y fait tout est fait défait refait. Parfait.