samedi 1 juin 2013

Épilogue glacé au mat de ma peau, les mots viennent
Paradoxes des usures sur lesquelles je me blesse
Peste soit des critères et convenances, j'abonde en mon sens de misère, de fierté sur le pouce ouvert
Ego vomissant les interstices de mes erreurs répétées à redorer leur valeur
Palabrer les humeurs changeantes de ma volupté chargée comme une cigarette sur le matin brumeux
Foutre soit des relations humaines, des traces mesquines qu'elles laissent dans mon cœur de moleskine
A en vomir, je m'en remet à Dieu
Nécessité fulgurante tranchant les attachements aux phénomènes changeants des conjonctures
Brulant la pulpe sanglante de mes mains chantantes
Aux bord de l'Allier
sur le côté du cendrier
passe l'onde
Suivant la trace
sur le vide
rien
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