samedi 15 août 2009

Devinons

Devinons sans cri les lueurs hagardes- Mes spasmes se perdent
L'occlusion de mes sens Des pertes sans nom
Le ciel se couvre-rouge sang des souffrances parsemées en condition de fou
Blêmes sont tes tractions sans mes visites inopportunes
Ma marée de laque sang inonde ta galerie passagère et marque les murs aux fers
Tes errances n'ont pas le goût très suave et tes ambitions sont vaines
Parsème tes rimes stériles de laque à beau
Les miroirs se taisent et le chemin tracé prend ses repères dans les formules récentes
Mes sentiers se tracent à la force de bras nageurs et à la volonté comprimée
Par les sentinelles fortes aux aguets de nos mondes aux abois
Devine toi aussi où je me trouve
A peine ici les toiles ne sont pas là où tu les vois plus profond dans les sondes immortelles de soupapes en attentes
La beauté est exilée en tes terres hautes et le cosmonaute se trompe de direction
Ta beauté fait taire les métaphores
Ton chant audible partout me traque lorsque je te cherche
Nous avons dissolu les firmaments du Monde et soulevé les nouvelles conditions. Je pense, tu es là et nous nous taisons subrepticement.

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