jeudi 27 août 2009

Blafards

Blafards
Des bises de l'âme vogue en douce terreur de jadis- Nous sommes narquois vous l'oubliez Monsieur de rien des récoltes en sentinelle douce
Vos compagnes se souviennent de votre embonpoint et je n'ai plus de gêne
Terre toi dans des dialogues en souvenirs de buvard
Vous pénétrez le lard de coutumières
Parlez en latence
Je n'ignore pas vos emblèmes frêles
Des mouchoirs de papiers blancs de vos amours inaccomplis
la pisse rempli tes chaussures au premier ressort des besoins d'ambition
Etalon nous dérivons aux aguets
Parle amour je cire tes pompes et rêve de te briser
Mes étreintes m'ont laissé une rage inhospitalière
Crevard de l'ennui béat de tes fadaises
Je baise les déraisons d'un Monde inquiet qui tient en haleine une main d'oeuvre épuisée
Souriez l'amour mort en puissance enfouie les travers de porcs de mes ennemis aux sobriquets que je décompose comme leur chair catin. L'idiot se tait mais remarquez bien ses absences la dérive de ses amours lointaines coupe le cordon de vos bourses fades
à la tiédeur du Monde qui opère à la hache je réponds assurément que les suceurs de foules craignent la petite houle de mes torpeurs- Abois aux aguets la Mort est là.

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