dimanche 4 décembre 2011

Les horizons se taisaient, un ciel bleu-gris ,opaque en partie, contrastait avec la lumière jaune sombre du lampadaire- les stupeurs nous étions à bord et puis les lignes blanches se dessinaient un peu plus rapidement, les remords qui doucement m'accablent les bâtiments blancs, le fleuve gris comme les yeux amoureux du temps où nous pleurions, tu sème les embûches les petits dessins narquois, nous longeons l'atmosphère égale de pylône en pylône comme si finalement tout se valait, des équidistances à perdre les repères et les pensées doucement se rejoignent en une vérité sans équivoque puisque la vraie compréhension est toujours, partout accessible. La nuit sanctuaire sans fin, et sur les plages nous cherchons le vent qui tourne sous les regards inquiets- tout est sans fin, finalement.

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