lundi 7 février 2011

Devoir se taire sur les incompréhensions comme mon souvenir se terre
Les aléas répulsion-attraction, un souvenir au bord des lèvres
La rivière dans laquelle mon corps long et blanc flotte lâchant les tensions
Petites contractions happées en ce Monde de dualité, séparant les choses, éloignant le lien qui peu à peu englobe l'horizon et mes limites innervées, à l'embouchure des vaisseaux qui drainent la beauté des hémisphères correspondants
Le ciel se couvre, un ciel d'orage au bleu puissant
Comme les roulements de tambours sur les crépuscules d'actions politiques
Petites vanités pour mortalité accablante
Le retour mystique du mot épelé en sanscrit sur le images trop fortes de l'or sur le corps bleuté
Des cyanures au bout des cheveux blonds sombres, du héros ulcéré
Et la quiétude infinie du regard qui se tait
Au fond
Si tout se sait...

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