mercredi 5 janvier 2011

La beauté insidieuse de Krishna se terre dans le regard, la pupille un moment vacillante du Monde, en secret gardé comme une parole sacrée, dans les temples diurnes entre tombée de nuit pâleur du jour, aiguilles de pins d'un vert foncé asséchant la terre, puisant la ressource au plus profond sur le point d'horizon se taisent les oiseaux, la puissance ne vacille pas et l'ombre sur la terre aux regards lointains exprime la profondeur du bleu et de l'Éternel.

2 commentaires:

  1. on sent bien le voyage au Nepal/Inde, tes lectures et tes experiences a travers ce poeme. Comme dirait Haven Treviño: "One without wonder will not see it while the eyes of the grateful will reflect it". Merci pour cette reflection!

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