samedi 13 avril 2013

Le divin sous les pas
les passages avides
Puis les regards transportent la profondeur
de mon égarement, de la faille qui se dessine entre mes conceptions et la profondeur absolue de l'être
La torpeur au sein de nos éclipses, un iris qui se fond dans la main fine
Une absolution sur condition incertaine, balbutiement des éclats
l'attachement doucement se consume, se consomme
Je fume
la nuit longue fatigue
le jour où la présence me conduit
le chemin combine souffrance aux trois quarts
pour joie des regards, présence invisible quasi divine
toi si...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire