mercredi 31 octobre 2012

Poésie maquisarde de la beauté parallaxe du Monde
Les ruisseaux où germe ma béatitude, les bosquets dorés
Sur les crépuscules de mon absence latente
De l'infinie radiance du K
Jamais je n'ai vécu par les balles
Je ne vis plus par la Haine
Même si la cruauté partout m'affecte
Constantinople et puis les appels de l'orient
De l'occident
Des oxymores
De ma dissolution dans un Monde
Sans arrogance ni mépris
Un panache de simplicité
Mon orgueil à jamais pardonné
Consensuel et censé
Je n'en demeure pas moins
Un peu censuré
Qu'y puis-je
Nul n'est prophète en son pays
Les Indes orientales m’appellent
Comme celles d'Occident
Nous présent useront de mesure et intelligence
Vive le vie. HKHKKKHHHRHRRRHH

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