dimanche 16 septembre 2012

Une onctuosité si fine une vertu si immense une quiétude si arrogante, le torrent s'ouvre comme une vanne éternelle un océan de félicité le beauté m'inquiète partout quand le mariage des tonalités mauves devient violent
Se soumet aux raisons de l'atmosphère et que les conclusions sont fines qu'elles ne soient pas arrogantes l'amour est la seule chose, le pourpre est infini si les cœurs éclatent en sanglot, si les sages pleurent des larmes lourdes mêlées au sang l'inversion est annoncée les contournement sont fins et délicats, l'excitation doit être tempérée les bisons abattus sont la question du déclin nord amérindien et le rapport aux animaux est si délicat qu'elle pose la question du rapport à l'animal, de Senghor à qui je n'ose pas trop parler et à son enfance d'errance, de pâtre, les gardiens de chèvres, les bergers écrivains le gobelet de vodka orange m'a fait vomir du bleu cachet, presque du sang. Excusez ma quasi absence...

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